Chirurgie de la cheville

Rupture du tendon d’Achille et entorses de cheville à répétition nécessitent une intervention chirurgicale de la cheville : celle-ci permet de réparer les tendons ou ligaments concernés pour récupérer une amplitude de mouvements idéale.

Ligamentoplastie de cheville

La répétition des entorses réduit la capacité du ligament latéral externe à cicatriser spontanément en position efficace diminuant ainsi la stabilité de la cheville. On parle alors d’instabilité de cheville responsable de douleurs, de sensations de lâchage ou de dérobement.

Réparation du tendon d’achille

Avec le temps ou lors des sollicitations répétées, les filaments du tendon peuvent s’affaiblir et le tendon peut alors se rompre brutalement lors d’un effort. On distingue les ruptures récentes ou fraîches et les ruptures anciennes.

Stabilisation fibulaire

Lorsque les tendons fibulaires sont endommagés ou instables, on parle alors de pathologie des tendons fibulaires. L’opération des tendons fibulaires consiste à corriger, réparer ou retirer les parties endommagées des tendons fibulaires.

Arthroscopie de la cheville

Lorsque le patient est atteint d’une instabilité de la cheville, il a la sensation que celle-ci se dérobe, se relâche et ne peut être contrôlée. Une cheville peut être instable pour différentes raisons, et la plupart du temps, c’est un déficit ligamentaire qui est en cause.

Arthroscopie de la cheville

une technique chirurgicale non invasive permettant de traiter différentes pathologies de la cheville.

Arthrolyse antérieure de la cheville

Le conflit articulaire de cheville provoque des douleurs intenses dans le pied du patient et une perte de la mobilité. Cette pathologie qui occasionne un frottement, des micro traumatismes et une usure prématurée de l’articulation de la cheville peut être favorisée par une pratique sportive intensive.

Traitement d’une ostéochondrite

L’ostéochondrite se définit comme une anomalie au niveau des os et du cartilage. Cette pathologie peut être provoquée ou favorisée par divers facteurs de risques comme les mouvements intenses, les efforts répétés de l’articulation, une activité physique trop brusque, et bien d’autres encore.